Désolé x3 - Takashi Megumi.

Alors là, voua venez de me faire le coup du siècle en rebarrant ma fiche XD
Si je n'en fais pas une nouvelle dès maintenant, je pourrai pas la refaire avant.. 1 mois x3
Alors voilà, vous remplacerez l'ancienne ...
Tss, les Bakas que vous êtes, oh la la..

Passeport de (Megumi . Takashi)

NOM ; Takashi.
PRÉNOM ; Megumi.
SURNOM ; Meg' ( -Kappa-Chan était son surnom lorsqu'elle était jeune x3)
ÂGE ; 19 ans.
ORIGINE ; Japonaise.
GROUPE ; J'aurais voulu être une artisteee! (Eh ben quoi, on a plus de droit de délirer un peu? xD) .. Non, elle est présentement une simple étudiante. (À moins qu’Annabelle… x3)
HABITATION ; En collocation, mais avec qui? =O

Carnet de Santé.

[size=9]PSYCHOLOGIE ;

Citation :

Le côté le plus vu de Megumi, est celui qu'elle aime le plus afficher.
Ce côté se détache en trois qualités et deux défauts. Le reste, on y en reviendra plus tard.
Depuis toute jeune, Meg' vit dans l'ombre d'un personnage qu'elle joue dans la pièce de sa vie. Sa vraie personne n'étant pas tolérable selon ... tout le monde, Megumi a rapidement dût user de son talent d'adaptation pour satisfaire sa famille et leurs proches. Ce qui nous amène à sa première qualité visible, et réelle par la même occasion. Son sens de l'adaptation. Celui-ci a été très important tout au long de sa vie car, finalement, c'est cette qualité rare qui forgea sa personnalité. Qu'elle ait à changer d'école, qu'elle se fasse brutaliser, qu'on ne l'apprécie pas, qu'on existe d'elle une amélioration au niveau de son comportement, ou de ses notes, Megumi s'adaptait à tout.
" Je m'adapterai. " Toujours. Encore et encore. Jusqu’à la limite de ma vie.

Mais comme tout ne peut pas être beau en une personne, cette jeune femme a aussi des défauts qui la rendent moins « belle ». On peut penser qu’elle ne se lasse pas de les montrer, mais si on a cette pensée, c’est qu’on ne la connait pas. Ce qu’on croit être un défaut, n’est peut-être rien d’autre qu’une façon de se faire voir voulu par Megumi. En fait, le premier défaut – et le plus visible -, que Megumi a, est d’être un peu trop, pour ne pas dire vraiment trop, directe. Sa franchise, sa façon d’aborder le sujet, ce sourire étrange lorsqu’elle avoue ce qu’elle pense d’une personne… Rien de tout ça n’est normal, et c’est pour ça qu’on prend cette façon d’agir pour un défaut. Moi je n’appellerais pas ça un défaut, mais plus une façon de s’amuser. En effet, Megumi est une personne étrange, qui ne s’amuse que lorsqu’elle a une « proie », ou plutôt une cible avec qui jouer à son jeu. Les personnes ciblées sont souvent ces personnes qui n’aiment ou ne se font jamais marcher sur les pieds, ainsi que ces personnes fortes de caractère qui ne reculent pas dès qu’on s’approche d’elle en l’insultant. Les égoïstes, les prétentieux, les arrogants, les hypocrites, les rois de la vantardise… elle ne se gêne jamais de les approcher franchement, et malgré le nombre de fois qu’elle a eu des ennuies, elle continue. Pour une raison bien simple. L’Indifférence.
« Ça m’amuse, tu te laisse si facilement avoir que s’en est misérable! » Elle riait. Elle en pleurait de rire. C’est un plaisir de tous les jours.

L’indifférence. Voilà un mot bien vaste, qui pourrait être vu comme de l’égoïsme, ou comme un manque de sentiments, ou comme une façon de se défendre, ou comme une carapace…
L’indifférence a fait plusieurs victimes, à l’époque où les samouraïs régnaient encore sur le Japon. Cette indifférence était appelée « La justice du Guerrier », et était prise pour une loi d’honneur, de fierté et de justice, mais qui n’était en faite qu’une marque d’Indifférence dût aux drames de cette époque. Il semblerait que la famille Mizuki (Nom du père biologique de Megumi), ait hérité de cette indifférence. Bien sûr, celle de Megumi s’est forgée avec les années, produit de son sens de l’adaptation qui la poussa à devenir ainsi. Qu’on l’insulte? Donnez-en encore! Qu’on aille jusqu’à la brutaliser physiquement? Ce n’est qu’un mal comme un autre, il y en a qui souffrent bien plus. Qu’on la rejette? Est-ce que j’aurais demandé à me faire accepter sans le savoir? Qu’on la menace? Et ben, ce qui arrivera, arrivera.
Cette façon de voir les choses était si rare! Surtout au Japon où le tôt de suicide était le plus élevé au niveau mondial. Megumi aimait cette personne qu’elle reflétait, bien qu’elle ait été une tout autre personne autrefois, il y a très longtemps.
« Je m’en fou, continue de me torturer si tu veux, tu te fatigueras bien un jour » Et ça continuait. Encore et encore. Mais quelle importance? Elle avait connu pire.

Mais l’indifférence... Est-ce une qualité, ou un défaut?
Ça doit être une qualité, puisque dans le cas de Megumi, elle ne se présente pas sous forme égoïste, froide, déprimante ou effrayante, non. Ce qui nous amène à parler de la troisième qualité visible de Meg’.
Ce qui rend son indifférence si naturelle, c’est sa vaste qualité qui, en fait, est une combinaison sans noms de plusieurs qualités. Gentille ; sociable ; énergique ; souriante ; positive en tout temps ; généreuse ; protectrice ; aimable et respectueuse. (On parle bien de Megumi, oui oui XD)
En fait, cette grande combinaison de qualités n’est visible que par les personnes qu’elle vient de rencontrer, donc les connaissances, et ces personnes qu’elle appelle ; les amis de second rang. (En secret, bien sûr x3)

Les amis de second rang sont les personnes avec qui elle s’entend bien et sur lesquelles elle peut compter. Et les amis de premier rang… Sont ces personnes qui ont été attaqués par elle et qui n’ont pas perdus sang-froid. Selon elle, ce sont ses amis, mais selon les victimes, elle est une ennemi. Étrange, oui.

Enfin bref, cette combinaison lui a souvent apporté le plaisir de faire de nouvelles connaissance, mais aussi ce malheur de devoir refuser l’amour de plusieurs garçons. En fait, elle n’a jamais eu d’amis venant de Mars, justement à cause de cette attirance fatigante que certains ont pour les filles comme elle.
« Hé, salut! Tu viens à la fête, ce soir? On va s’amuser comme des fous!
Réponse de la personne : « Huh.. On se connait? »
« Pas encore, mais ça ne saurait tarder! »
Elle devint mon amie. Comme tous les amis de mes amis. Mais finalement les Martiens finissent souvent par être éliminés de ma liste d’amis. Trop souvent.
(J’espère ne pas vous mélanger avec mon truc de Martiens? xD .. Les hommes venant de mars et les femmes de vénus.. c’est une manière comme une autre de parler d’eux XD)

Pour retourner dans le vif du sujet, nous voyons – bien cacher, cette fois -, le défaut qui vient avec cette fatigue à toujours trop se faire apprécier par certains garçons. Celui qu’on appelle si bien « La fausse naïveté ».

En fait, les hommes sont tellement facile à prévoir, que Megumi sait rapidement si un tel ou un tel est amoureux d’elle. Malheureusement, elle joue toujours la naïve jusqu’à ce qu’ils lui avouent haut et fort « Je t’aime ». Le problème est que plus longtemps ils attendent pour le dire, plus ça leur fait mal lorsqu’ils sont rejeter, et c’est en partie de la faute de Megumi car elle le prend toujours comme un jeu, là aussi, et que ça finit par blesser le gars concerné, jusqu’à parfois le faire changer d’école. (Je veux pas être en cause d’un suicide, même si ça s’est déjà vu souvent xP)
« Me…Megumi! Je t’aime! »
« Je suis désolé, **** … Tu n’es qu’un ami pour moi… »
Il était amoureux de moi depuis le premier jour où je lui ai parlé, ou peut-être depuis plus longtemps. J’ai attendu six mois, et ça a finit par le déchirer au point qu’il refusa de revenir au lycée et fut changer d’école, de maison et même de ville.

Maintenant que les grosses lignes de la personnalité déroutante et compliquée (Autant à écrire qu’à comprendre, je vous en assure XD) de Megumi sont tracées, j’aimerais vous faire part de ce qui sommeille en elle. L’ancienne Megumi était en tout points différente de la nouvelle. Terrorisée par le jugement, sensible et facilement perturbée, Megumi était autrefois celle qu’on protégeait tout le temps, celle qui bloquait lorsqu’on ne faisait même que lui adresser la parole. Autrefois, elle ressemblait à une poupée de chiffon incapable de dire ce qu’elle pensait et surtout, pleurnicharde. Elle était incapable d’accepter de se faire chicaner, ça la faisait pleurer et il fallait ensuite la réconforter. Mais elle était tous le temps très gentille et honnête envers tout le monde. Jamais elle n’aurait mentit. Elle était jeune, à cette époque. Elle n’avait que 8 ans…
« Papa est partit? Alors je deviendrai forte et te protégerai de la peine, maman! »

Je le lui avais dis deux fois en une semaine. Je n’ai su y parvenir. La seule personne qui en fut capable est celle qui m’enleva toute liberté. Un homme qui réveilla mon sens de l’adaptation et qui fit de moi ce que je suis aujourd’hui.
« Et pourtant, je le déteste. »

PHOBIE ; La peur qui la rend faible à tout coup est la suivante : Les orages. Elle n’en reste jamais indifférente.
PROBLÈME DE SANTÉ ; Elle a un problème rénale depuis la naissance, mais elle n’en souffre plus comme autrefois. Une fois par mois, elle a rendez-vous avec son néphrologue.

PHYSIQUE ; De son physique, rien ne pourrait donner une impression qu’elle est riche. En fait, elle a le physique d’une jeune femme dans la moyenne économique. Cheveux mi-longs, coupés en dégradé simple, noirs ; yeux noirs, maquillés qu’une d’une mince couche de mascara de marque commerciale ; lèvres vierges et pulpeuses, mise en valeur par une couche de rouge à lèvre brillant à la fraise, encore une fois de marque commerciale ; taille moyenne et aucune chirurgie des pieds jusqu’à la tête ; un ventre plat mais recouvert d’une peau élastique qui lui donne des formes qu’elle n’aurait pas sans elle ; un ensemble de corps assez athlétique ; des vêtements achetés dans des boutiques populaires chez la classe moyenne… Bref, tout pour penser qu’elle n’est pas riche et est une de ces boursières.

DÉTAIL ; Elle a un tatouage bien caché sous sa chevelure – sur sa nuque. Il représente un oiseau volant vers le soleil, une fleur de Lys dans le bec mais prisonnier d’une liane le retenant à la lune.

Citation :

BIOGRAPHIE ;
Je suis née à Hakodate. Ma mère s’occupait toujours de moi, ce qui m’a rendu très fragile et peureuse, car je ne faisais jamais rien toute seule. Mon père? Il passait ses journées dans des bars et ses soirées au bordel. L’argent nous manquait, mais il s’en foutait, c’était lui qui en profitait. Je ne le connaissais pas vraiment, pour moi il n’était qu’un passant, pas un père. J’avais peur de lui, car il faisait mal à ma mère et la rendait triste. Je lui en voulais.
Comme j’avais peur de tout, je n’avais pas d’amis et prenait fuite chaque fois qu’on me parlait. Ce n’était pas de la timidité, c’était franchement de la peur. Les humains me faisaient peur.
J’étais très jeune, et pleurnicharde, mais malgré tout je grandissais très vite, mentalement. À 5 ans, j’avais la maturité d’une fillette de 10 ans. Ce n’était pas un développement normal, mais c’était dût à mon père et aux choses que je voyais dans mon quotidien. Je me rendais déjà compte de la tristesse qu’éprouvait ma mère et tentait déjà de la protéger contre celle-ci, vainement.
Mon père disparut de la surface de la terre lorsque j’atteignais quasiment mes 8 ans, mais ça ne me fit rien. Pourtant, notre situation financière se dégrada et nous dûmes déménager dans un très petit appartement, juste au dessus du nouveau travail de maman. Elle était coiffeuse dans le petit salon de beauté du dessous. Je la regardais toujours travailler, l’assurant qu’un jour j’allais devenir comme elle. C’est à cet époque que je changeai radicalement. Je voulais tant protéger ma mère, que je devins très indépendante et débrouillarde. Ma mère en avait besoin, je le savais. J’avais le devoir d’atteindre l’âge de pouvoir faire mes propres choix, d’être capable de faire des choses par moi-même, de devenirs forte. Très forte. De protéger ma mère.
Mais mon cerveau allait trop vite, et je sautais tant d’étapes, que ça ne fit que me faire déraper dans une sorte de brume étourdissante. Je courais sans arrêt pour essayer d’évacuer toute cette douleur qui sortait de nulle part et qui me rendait lourde et triste. J’avais des amis, mais je n’en voulais pas réellement. Je n’avais besoin que de sentir que je pouvais faire mieux, et ainsi faire que ma mère se sente mieux. Malheureusement, ce ne fut pas de moi que ça vint.
-Chérie, maman à rencontrer un homme et… Et bien nous allons nous marier! Avait-t-elle dit un jour, le sourire si illuminant que Megumi en fut aveuglée.
Ma mission avait échouée, je le savais. Les 10 ans que j’avais à cette époque reprirent le dessus sur les 15 ans que je semblais avoir. Je détestais déjà ce nouveau père. Les hommes étaient tous pareils, des monstres! … Je ne l’aimerais jamais. Même s’il avait une grande demeure, même s’ils auraient le ventre plein chaque jour, même s’il apportait du bonheur à maman. Je le détestais plus que tout au monde.
Malgré mon écœurement fasse à cet homme qui jouait au gentilhomme, je dus m’adapter à ma nouvelle vie de riche, car je ne voulais pas vexer ma mère.
Ce fut très aisé d’une façon, car je tentais toujours de cacher mon dégoût face à autant de nourriture – je n’aimais pas manger -, et à ces employés qui m’empêchaient d’avoir même un minimum de liberté alors que c’était tout ce que je demandais.
Mon caractère changea, je devins très calme, je me mis à être méchante envers les jeunes de mon âge, bien que je ne le faisais que pour trouver un peu d’amusement dans cette morne école de riches où j’avais été inscrite. Puis, au vu de mes changements d’école nombreux vu la réputation de petite peste que je laissais à chacones de celles où je me faisais inscrire, je dus essayer de me fondre dans le moule pour ne plus décevoir ce père qui semblait désespéré. Mes notes grimpaient toujours un peu plus, et j’avais enfin réussi à rester dans une école plus de deux mois lorsque je commençai à être intimidée par les plus vieux. Dans les précédentes écoles où j’avais été, il n’y avait que trois années, mais dans celle-ci il y en avait 6. Le Lycée était fusé à l’école primaire. Je me mis à être bousculée, insultée et fit objet de la violence car je le cherchais, mais je commençais à devenir étrangement confortable dans ce genre de situation. Non, en fait ce n’est qu’une bonne façon de présentés les faits, qui étaient que je semblais perdre toute trace de sentiments face à l’intimidation et aux menaces. Je devenais forte, indifférente. Oui, plus je coulais, plus je sentais que ça ne me faisait plus rien du tout. Les coups ne me faisaient plus mal, et les insultes semblaient toujours s’adresser de plus en plus à une personne invisible. Je n’étais plus la Megumi qu’on intimidait, je n’étais que son porte douleur insensible. Ça me plaisait bien.
Puis j’entrai au Lycée, transférée dans un nouvel établissement après que ma mère se soit rendu compte de la situation dans laquelle je me trouvais depuis mon arrivée à cette école. Ma cote de popularité monta en flèche car j’étais devenu assez belle, et que je commençais à prendre des formes. À ce moment, je dus une fois de plus m’adapter à ce nouvel environnement, ainsi qu’à ma nouvelle réputation. Je devins sociable, ouverte et très optimiste, et ainsi je me fis énormément d’amis. Malheureusement, j’étais incapable de perdre mon côté « taquin », qui m’avait apporté tant d’ennuis, et je trouvai rapidement beaucoup plus de plaisir qu’autre fois à attaquer les cibles que je choisissais. Comme j’adorais ce jeu, j’y passais beaucoup de temps, trouvant toujours une nouvelle personne à taquiner.
Ma personnalité se solidifia peu à peu, et ce que j’affichais se mit à plaire à mon « père », qui décida de faire de moi son héritière. Il Était le grand directeur de deux établissement renfermant trois écoles chaque – primaire, lycée, université -, l’une pour les garçons et l’autre pour les filles. C’était bien sûr un endroit réservé aux riches enfants, et pour ne pas salir sa réputation, la mère de mon beau-père me fit rayer de la carte d’accès à cette école, pour éviter que la nouvelle comme quoi j’étais autrefois pauvre ne se répande. Cette grand-mère était monstrueusement belle et sévère. Elle me détestait, détestait ma mère et haïssait encore plus le fait que nous aillons été pauvres. Elle nous parlait toujours d’un ton hautain et dégoûté qui me faisait rire, bien que je doive toujours le cacher.
Puis le jour arriva où je terminai mes études de base et que je dus me rendre à l’université. J’avais très hâte, car je devais me rendre aux États-Unis et aller étudier à Harvard, mais mon faux paternel ne fut pas du même avis que moi. Je devais rester proche d’eux et aller dans une Université où la famille avait déjà fait ses études. Crystal-Ship fut le choix de son tyrannique de père. Je n’en connaissais rien, mais lorsqu’il se mit à me raconter l’histoire de l’Élite et de ceux qui se levaient contre ce groupe de jeunes qui prenaient la tête de l’Université comme des rois, je devins très intéressée… Enfin, j’allais vraiment m’amuser.
(Et merde, je ne peux vraiment pas faire mieux? XD.. Désolé, mais encore une fois je la fais à 1h du matin, allez savoir pourquoi, c’est le seul moment où j’arrive à écrire x33)

Goûts, informations personnelles & Étude.

LIKE ; Les Pockys, le roman coréen Shower, les mangas, lire, écouter de la musique, le théâtre, rire, s’amuser avec ses cibles, faire des arts-martiaux, la trompette, le cinéma.
DISLIKE ; La barbe à Papa. Les Râmens. Son « père ». Les faibles. Rire pendant qu’elle s’amuse avec une cible.
SECRET ; Elle n’a jamais eu son premier baiser.
E-MAIL ; Wasabi-san@crystal-ship.jp
BLOG ; //
ANNÉE D'ETUDE ; 2eme année.
SPÉCIALITÉ ; Littérature.

FOX CORP. ; //
ELITE ; //
PROIE ; Pouahah, on sait jamais ce qu’il va se produire, hein! XD
RELATION ; J’aimerais ça avoir un lien avec les deux groupes! :O (Ça me dérange pas que l’un m’aime et l’autre non x3 .. Et puis, Annabelle semble commencer à m’apprécier.. )

Feat. = Shida Mirai

EDIT : Ahah, mon caractère est plus long que ma Bio x33

Hein ? Pourquoi tu la refais ?
A ce que j'ai compris, ta fiche était finie. Tu comptais la modifier encore ?

Ta fiche est là ... Lien

J'ai pas bien saisi. Enfin, tu m'en diras tant.
J'ai peut-être mal compris aussi.

Bah je pensais qu'Ann' te mettrait au courant .. =o (Rooh la méchante!)
J'avais demander à pouvoir la recommencer parce que je la trouvais très mal faite, et donc Ann' l'avait dévérouillée pour que je puisse éditer.. Mais là, mon fichier sur lequel j'avais entreposé ma fiche se trouvait sur un ordinateur dont je n'aurais pas l'accès jusque dans un mois.. Alors je me suis dis "Remplace-la, car sinon tu sais très bien que tu seras trop flemmarde pour la re-recommencer XD"
Voilà l'histoire dans les grandes lignes.. Alors dans le fond, vous avez qu'a suprimer l'ancienne et la remplacer vers la nouvelle.. Et pas besoin de me Re-Valider, hein! XD En tous cas, si tu le fais, au moins dit pas "Bienvenue" n.n

T'as compris, là? x3

Ah d'accord.
On aurait pu mettre au courant, c'était la moindre de chose ... Enfin, maintenant que c'est fait, ça change rien.