| Otakushi Minao |

Invité

Passeport de Minao Otakushi

NOM ; Otakushi.
PRÉNOM ; Minao.
SURNOM ; Aucun.
ÂGE ; 19 ans.
ORIGINE ; Japonaise.
GROUPE ; Etudiant.
HABITATION ; Seul.

Carnet de Santé.

PSYCHOLOGIE ; Froid et impassible. Oui, voilà les mots qui nous viennent tout de suite à l’esprit lorsqu’on le rencontre. Minao n’est pas du genre expansif niveau sentiment, au contraire, on se demande si il en éprouve réellement. Le ton de sa voix est toujours le même, froid et tranchant. Il parle pas souvent, seulement quand c’est nécessaire et ça le rend certainement inquiétant. Oui, car il est parfaitement impossible de savoir se qui se passe dans cette petite tête de nippon. Il est aussi extrêmement directe et franc. Il ne ment que rarement et cela donne parfois lieu a des scènes plutôt bizarres. De même,son humour laisse perplexe vu qu’il n’y met pas le ton. Bien qu’il est plutôt du genre cynique et sadique. Faire tourner les gens en bourrique, c’est ça qu’il trouve drôle. Il y arrive d’ailleurs très souvent, mais sans faire exprès. Juste parce qu’il est de façon naturelle, différent et déstabilisant. C’est vrai que fasse à se personnage, on a du mal à garder le contrôle. Parce qu’il a tendance à être trop sincère dans un monde qui se veut et se doit hypocrite. D’ailleurs, étant bien trop franc, il en est devenu arrogant. Il est intelligent et plutôt solitaire, et n’ayant pas peur de dire se qu’il pense, cet aspect de sa personnalité lui attire parfois les foudres de mafieux ennemis. Il est aussi très capricieux. Il aime que les choses soient faites selon son bon vouloir et si on ose s’opposer à ses décisions, on découvrira que sous cette glace apparente se cache des flammes infernales. La colère, la haine. Il pourra briser tout se qui l’entoure tout en gardant son visage de marbre, bien que dans ses yeux apparaissent alors les braises des enfers. C’est vrai, Minao n’est pas le genre de personne qu’on aime à fréquenter. Il n’a rien du type gentil et affectueux. Il n’est absolument pas sociable et n’a que peu conscience de la différence entre bien et mal.
PHOBIE ; Aucune.
PROBLÈME DE SANTÉ ; Aucun.
PHYSIQUE ;

« Son visage est de glace… Mais au fond de ses prunelles qui nous fixe et
nous fascine toujours plus, n’apercevons nous pas…. Les flammes d’un bouillant enfer ? »

Minao est fascinant, il n’y a pas d’autre mot pour décrire le physique si particulier du jeune homme. Lorsqu’on le croise dans la rue, la première chose qui nous marque est ce regard. Ce regard aux couleurs de néant qui prend parfois des teintes aquatiques et qui semble aussi aiguisé que la lame d’un sabre. Il semble pouvoir lire en vous, il semble tout savoir de vous. Comme ci il avait l’étrange capacité de toucher des yeux votre âme, de l’attraper et de l’emprisonner à jamais dans un monde inconnu ou il est seul maître. Une fois que vous aurez croisé ses prunelles, il vous sera impossible de détourner les yeux ou de vous échapper de son emprise. Son aura mystérieuse vous entoura et vous possédera. Vous hypnotisant et vous aspirant dans son univers. Vous vous sentirez bien et à la fois, comme possédé. Cet être est fait de glace car jamais, ou très rarement, sur son visage n’apparaît l’ombre d’un sentiment. Et pourtant, c’est une nouvelle fois dans ses prunelles, que vous pourrez sentir les braises de ses multiples tourments. Certes, il vous faudra beaucoup d’entraînement avant de pouvoir ressentir les agitations de son esprit, mais parfois, vous verrez, vous ressentirez cette impression étrange. Sur son visage de porcelaine, aucune imperfection n’apparaît. Il a une peau de nacre, douce, si douce qu’on aimerait la caresser pendant des heures en s’enivrant de son parfum fruité Et sur les traits fins de son visage d’ange, tombent parfois les mèches sombres de sa chevelure. Chevelure changeant parfois de teinte, parfois de forme. Enfin, on remarque aussi rapidement que le jeune homme apprécie les perçings car sur sa bouille, on aperçoit en nombre ces objets métalliques. Sur son nez, à son arcade, à ses lèvres, à la langue et en très grands nombres à ses oreilles, mais aussi à l’un de ses tétons et à son nombril. Il y a quelque chose qui se dégage de lui, qui en plus de son regard, ensorcelle. Une aura de glace, quelque chose d’inconnu qui semble mettre une certaine distance entre nous et lui. Comme une barrière de protection qui rend cet être mystique et si différent. Et à la fois, avec cette froideur qui se voit au premier coup d’œil, on ressent une chaleur démoniaque. Un peu d’arrogance peut être, de la force et de la domination. Les braises d’un caractère manipulateur et plus démoniaque qu'on pourrait le penser.

DÉTAIL ; Selon comment il s'habille ou se coiffe, il ressemble plus ou moins à une femme.

Spoiler:

BIOGRAPHIE ;
« Qu’est-ce que le bonheur ? »
« Un souvenir douloureux. »

Je suis né un matin de juillet, dans la grand ville qu’est Tôkyô. Je n’ai que peu de souvenir de mes premières années et je vous avoue que je préfère les oublier. Juste parce qu’ils me semblent trop doux pour être réels et qu’ils me tourmentent à leurs façons. Comment est-ce que ma vie aurait été si tout ça avait duré ? Est-ce qu’aujourd’hui, j’aurais été différent ? Certainement. Les traits de ma mère sont ceux qui me reviennent le plus difficilement à l’esprit. Elle était brune, grande, jolie. Enfin… Je crois. La seule chose dont je me souviens réellement est la mélodie de la comptine qu’elle me chantait avant que je m’endorme le soir. Une mélodie tendre que je joue souvent, espérant me rappeler un jour des paroles qui on bercées mon enfance. Il y avait aussi mon père, un joyeux luron qui me confectionnait des jouets de papier par manque d’argent. Oui, nous n’étions pas très riches et nous vivions dans un tout petit studio des quartiers malfamés. Mais cela ne nous empêchait pas d’être heureux avec ce que nous avions, au contraire. Comme disait mon père, nous étions riche de cœur.

« Mon fils, Dieu entend nos prières, il nous écoute, il nous aide, il nous aime. »
« Et il nous tue. »

Mes souvenirs se font plus nombreux à cette époque, sûrement parce que je prenais de l’âge. Je devais avoir cinq ans quand c’est arrivé, quand le Dieu que mes parents chérissait tant nous arracha la seule chose qui nous restait, l‘amour. Je ne sais plus ou nous devions nous rendre se jour là, mais cela nous rendait heureux. Peut être la plage ou la montagne, pour une petit balade familiale. Seulement, il y eut cet accident. La voiture fit plusieurs tonneaux, se retourna et on perdit tous la vie. Tous ? J’exagère sûrement. La seule qui périt réellement à cette date fut ma mère. Mais mon père ne s’en remit jamais, peut être parce que c’est lui qui conduisait, je suppose.

« Maman a rejoint les anges dans le ciel. Prêt de Dieu, elle veille sur nous. »
« Dieu nous l’a volé. »

Mon père tenta de s’en sortir. Pour moi, pour son unique enfant. Mais mon visage lui rappelait celui de celle qu’il avait tué, de celle qu’il aimait. Et il sombra. L’alcool, la dépression. Il passait son temps à l’appartement à pleurer dans la chambre, me suppliant de lui pardonner se qu’il était. Et moi, je grandissais douloureusement. Je dus apprendre à survivre très jeune. Je me renferma sur moi-même, ne comprenant pas pourquoi les autres enfants de ma classe étaient si heureux alors que le monde ou j’évoluais était si sombre. Je les haïssais parce qu’ils étaient naïfs et insouciants. J’étais jaloux, oui, mais j’avais tellement mal.

« Je suis désolé mon fils ! Je suis un si mauvais père. Je ne voulais pas. Excuse-moi ! Je t’en supplie ! Mon bébé… »
« Je suis fort. Tu es lâche. »

On dis qu’un malheur n’arrive pas seul, je pense que c’est vrai. Je rentrais de l’école quand je trouva mon père pendu au plafond. Je crois que je resta plusieurs heures à le fixer sans réellement comprendre se qu’il se passait. La corde autour de sa gorge, les bouteilles vides sur le sol. Je ne suis plus sûr de se qui se arriva après. Peut être ai-je trouvé le courage de prévenir les voisins, ou les voisins se sont inquiétés après plusieurs jours sans signe de vie venant de notre appartement, je ne sais pas. Mais je crois que ça ne change rien après tout, les Hanayuki’s n’étaient plus.

« Minao.. Tu me fais peur, pourquoi… Pourquoi tu ne souris jamais ? Tu n’éprouve pas de sentiment ? »
« Je suis fort. »

Pourquoi éprouver des choses qui nous font que souffrir et qui peuvent nous tuer ? Je ne voulais pas finir comme mon père. Je ne voulais plus me souvenir. Mais les gens de l’orphelinat ne le comprenaient pas. Pour eux, j’avais juste un cœur de glace. J’étais… Le ‘monstre‘. De toute façon, les autres m’exaspéraient, m’énervaient. Je commençais à devenir arrogant, agressif parfois. Ils étaient tous idiots et hypocrites. O que oui, le monde entier ou nous vivons est hypocrite ! Les politesses, les belles phrases. Les gens disent rarement se qu’ils pensent réellement et lorsqu’on leurs dit la vérité, leurs montrant la vrai réalité, ils se vexent, s’énervent, nous déteste. Mais tout ça m’était égale, je ne les aimait pas, alors je fugua.

« Les mensonges ça sert parfois, tu sais. Ça te permet d’avoir tout se que tu veux. Hé hé! »
« Manipulation. »

Un gosse des rues, voilà se que j’étais devenu. D’abord à mendier, puis le vol. Les sacs à mains, puis les caisses des magasins. Et avec ça, l’alcool, la drogue. J’étais un adolescent difficile à l’époque. J’hésitais pas à fracasser tout ceux qui me manquaient de respect, parce que je les détestais tous. Et au corps à corps, je me défendais plutôt bien, certainement parce que je ne ressentais pas la douleur ou que celle-ci, par rapport à celle qui rongeait mon âme, était sans importance. Mais ne vous faites pas d’idée, je n’étais pas une grosse brute. J’appris aussi à me servir de ma tête et je compris l’utilité du mensonge. Bien que je supporte toujours pas cela, je sais m’en servir pour arriver à mes fins. Parce que se monde est pourri, il faut savoir être plus pourri que lui, ne serrait-ce que pour survivre.

« Tu me plais petit gars, quel est ton nom ? »
« J’en ai plus. »

Évidement à force de traîner dans le milieu des voyous, je me fis repérer par les grosses pointures. Une mafia japonaise. J’avais le malheur d’être un peu trop actif sur leurs territoires et après plusieurs accrochages, ou tabassages, je me retrouva à jurer fidélité au parrain de cette famille. J’entra alors dans les affaires. Affaire dans lequel j’étais plutôt doué puisqu’au final, je fus accepté dans le clan, respecté et que le parrain alla même jusqu’à m’adopter et me donner son nom : Otakushi. L’argent commença alors à tomber à flot. Je découvrais les plaisirs de pouvoir dépenser des sommes astronomiques sur des coups de tête pour des choses que moi-même je trouvais sans importance. Je ne demandais plus, j’ordonnais et on s’exécutait. Je devins capricieux, orgueilleux, vénale. Je ne supportais pas que les autres ne m’obéissent pas. Ils devaient m’obéir. Égoïste. Un vrai petit parrain de la mafia.

« Minao, dans ce monde, il y ceux qui se font écraser et ceux qui écrasent. »
« Je vous écraserais tous. »

Papa. Je le haïssais mais il avait l’argent, l’influence, de belle promesse à me faire. Il m’envoya dans une des meilleurs écoles du japon, l’université crystal ship. J’avais un professeur particulier et je redevins rapidement un élève moyen malgré mon passé. Et plus le temps passait et plus mon titulaire devenait dure dans les études, l’éducation. J’appris des choses que je jugeais totalement inutile et qui finalement, se justifia. Il voulait que je reprenne la suite à sa mort et me formait pour. J’accepta et continua à travailler dans se but. Asservir les autres avant qu’ils ne vous asservisse. Pourquoi pas ? Je les haïssais tous de toute façon.

« C’est dans ses moments là.. Quand les gens ont besoin de soutien, qu’il se mettent à murmurer… ‘Dieu‘. »
« Ô kami-sama, entend ma prière. »

Ma vie me plaisais, oui, il n’y a pas de doute la dessus. J’étais un sale type, mais heureux de l’être. Enfin, heureux est un bien grand mot pour une personne qui n’éprouve que très peu de sentiment. Peut être que cela me faisait souffrir d’ailleurs. Il me manquait quelque chose et les souvenirs de mon enfance me le soufflait sans arrêt aux oreilles, me vrillant les tympans. L’amour, la tendresse. C’est pas dans mon milieu qu’on le trouve. J’avais beau ordonner à des gens de m’aimer, ils ne m’apportaient qu’un plaisir charnelle de courte duré. Je commençais à plonger lorsque je rencontra cette personne. Naïve, collante, rêveuse et trop gentille. Pas du tout faite pour moi, mais elle s’accrocha et on vécut quelque chose. Mais dans mon univers, il n’y a pas de place pour l’amour. Je délaissais mon monde, mon père, et je dû rejeter l’être que j’aimais de toutes mes forces. Je me montra odieux, allant jusqu’à lui dire des choses terribles. Mais je devais protéger cette personne du monde dans lequel je vis. Pour son bien, pour protéger cet ange de la colère de mon père. Aujourd’hui, je sais qu’il va bien, qu’il est heureux avec un autre. Et moi ? Je prie, encore et encore.

« L’Élite va trop loin dans cette école ! Non mais sérieux, faudrait faire quelque chose ! T‘en pense quoi toi ?! »
« Ils ont tout compris. »

« ….. »

Goûts, informations personnelles & Étude.

LIKE ; Kami-sama ; La Musique : Les trucs tranquilles comme regarder les étoiles ou lire un livre prêt de la cheminer ; l’argent ; le luxe ; la domination ; faire des caprices ; L’amour ; Son Job. [...]
DISLIKE ; Kami-sama ; Les Gens ? ; L‘Hypocrisie ; L’Irrespect ; Les Emmerdeurs ; Les Mauvais payeurs ; Les Trahisons ; Les Lâches ; Le Stress ; Ses Souvenirs ; Son Job. [...]
SECRET ; Cache des facettes de sa personnalité. [ Il a l'air de tout cacher sur lui d'ailleurs. -_-' ]
E-MAIL ; kami-sama@crystal-sh.jp
BLOG ; http://kami-sama.jp
ANNÉE D'ETUDE ; 3 ème année.
SPÉCIALITÉ ; Psychologie Option Musique.

FOX CORP. ; //
ELITE ; //
PROIE ; //
RELATION ; //

Feat. =

Wowowowowoh!

TOI!

JE TE CONNAIS! XD
T'est soi sur tokyo's life soit sur Kyoso no Gakuen, juste?

Bref, au nom du staff, bienvenue n_n!

Invité

Bon alors j'ai rien dis, désolé xD....

* va se cacher *

Ou alors c'était sur l'autre rp là...

Bref, t'as une tête de mec que je connais e_e
*se fait sortir pour harcèlement de membre*

XDDD Ko-kun la porte est à coté xD

Bienvenue ^^

Je sais que t'y réfléchit encore, mais n'oublie pas de préciser le groupe ^^

Invité

EDIT : Voilà, finis. Je verrais par le suite quel clan je soutiendrais. x)

Bienvenue!
Alors! Tout me parait trèèès bien x)!
Oui l'élite a besoin d'une raison, mais ça peut être juste parce que tu as marché sur les pieds d'un membre, que tu es moins fortunée, que tu n'es pas à leur gout...
Tu es donc en 3-A, n'oublie pas de faire ta fiche dans social link!

Invité

Wouhouh, un pion en faveur de nous ~

Je m'absente deux jours, un petit nouveau ... je vais faire ça plus souvent :3
Bienvenu, bienvenu !