J'aime pas le sport! BAAAAAH! || Feat. Jun

- Ai-ai-aidez-moi! J'suis enfermé... TwT

Ah la danse. Comment définir la danse ? Un enchainement de mouvements esthétiques qui a pour but de rendre une chorégraphie élégante et agréable à observer. En effectuant leurs enchaînements, les danseurs se défoulent, s'assouplissent et plaisent. Quoi ? Ça plait toujours un homme qui sait danser, j'ai pas raison ? Cet art - parce que la danse est un art, représente l'hobie et le pêcher mignon de Junichirô. L'heureux Numéro Un de l'Elite demeure et demeurait un passionné. Il dansait pour un rien, dès qu'un rythme s'enclenchait. Ses déhanchements désobéissaient à sa raison. Forcé à danser, Jun n'avait pas les directives de son corps et de ses gestes. Le démon de la danse, il l'avait en lui depuis tout petit. Maintenant qu'il était à Crystal, c'était encore autre chose. Il réussirait son année en partie grâce à son option, et c'est la seule matière dont il ne pourrait pas fausser les résultats pour faire chuter sa moyenne. Des fois, il le chassera bien le démon de la danse.

Chaque matin, c'était pareil, il avait deux heures et demie de danse. Non-stop ! Le plus exaspérant dans cette affaire, c'est que c'était toujours le premier arrivé et le premier en tenu. Par-dessus le marcher, il faisait rarement des erreurs dans la pratique. En résumant, il a tout pour être détesté ce type-là ; plutôt beau gosse, influent, talentueux et reconnu parmi une bonne partie de l'université. A votre place, je ne compterais pas ce qui se sont mis en tête de l'éliminer pour prendre sa place. Ah que non ! Ceci-dit, il avait de la chance le Junichirô, peu de garçons avaient l'option danse, ce qui réduit considérablement son taux d'assassinat dans la semaine, mais son niveau de popularité féminine a déjà explosé le plafond depuis un long moment.

Une bonne heure s'écoula depuis que son cours avait commencé. Il était déjà trempé de sueur et sentait le chien mort, mais quand on est populaire, personne ne le remarque ! Ou personne ne vous le fait remarquer, à voir qui est le plus flatteur. Il avait une espèce de survêtement-pyjama blanc qui aurait pu être immonde sur un garçon ordinaire, mais sur Jun, ça passait étonnamment bien. Beaucoup de mystères restent inexplicable dans ce monde de chacal, on devrait même en garder le mystère.

Le démon de la danse avait possédé son pauvre petit corps bien avant le début de la pratique. Comment le chassez, sérieusement ? On appelle le druide du coin ? Non, il suffit d'une fille aux dents de devant trop écarter, coiffé d'une sorte de palmier difforme. Et encore ! Je ne vous parle pas de son horrible ensemble jaune poussin moulant son informe taille 34 d'anorexique. Encore, elle aurait été petite, ce serait passé comme sur des roulettes ! Mais une grande perche. Non !

Jun manqua de hurler à la mort qu'un monstre s'était infiltré dans le Vaisseau de Crystal néanmoins, par politesse, il se contenta juste de faire une halte dans sa folie dangereuse en se rebutant à sa vue. Mais quelle horreur, soyons franc, c'était une moche.

Qu'est ce qu'elle veut la moche ? Une serviette pour épongé les gouttes perlant sur son front ? Jun pensa d'abord qu'elle se foutait grandement de sa gueule, mais réfléchit deux minutes. Qui se payait la tête de Jun, honnêtement ? Personne, donc elle est sincère. Watson est toujours parmi nous !

Avant qu'il ne s'étale au sol tant son ensemble allait lui donner de l'urticaire, il fila au vestiaire. Il prendrait une serviette pour lui aussi au même moment.

Il passa paisiblement devant les Scientifiques fous d'à côté, traversa les vestiaires quand ...

Une petite voix fébrile s'éleva d'une porte. Cette fois, Jun frôla bel et bien la syncope. Trop de surprise tue, vous savez bien ! Il ne hurla pas à la mort, mais risqua la chute sur le sol. Heureusement que personne n'était là ! La catastrophe aurait été fameuse.

En réfléchissant bien, Jun n'était pas fou. Iréel, mais pas fou ... Un fantôme !? Il ne se risqua pas à appeler le fantôme de l'Opéra. Soyons crédules, nom d'un boudin !

- C'qui ? demanda t-il avec un dédain crédible, mais erronée.

Tu parles, il flippe oui.

Le roux posa ses doigts sur les clés entrées dans le verrou de la porte. Ils sont vachement prudents de nos jours les profs, c'est moi qui vous le dis. Posément, Jun tourna la clé, pris son courage à deux mains et ouvrit la porte en grand. Devant lui, se tenait un petit être brin, pas très grand ni très costaud. UN DEMON ! Il se rongeait l'ongle en plus.

- Eh ? T'es le fantôme du coin ?

Dans ce genre de cas d'extrême flippe, Jun perdait son accent de rupin et ressemblait plus à une racaille des banlieues. Des gouttes perlaient à son tour sur son front, salant ses lèvres. Mais quelle horreur. Il fronça les sourcils et poussa d'un mouvement brusque le fantôme du coin.

- 'scuse, faut que j'attrape une serviette. Nom de dieu, c'est la crise dans votre vestiaire.

Juni lança un regard inquisiteur au démon prêt de la porte. C'était sa faute ! Pas de serviette ... ou bien il ne sait pas chercher. Ce qui est très probable ...

- Junichirô san! Eh... quel fantôme?

- Attends! Comment ça se fait que tu as les clefs du vestiaire?

- 'scuse, faut que j'attrape une serviette.
Nom de dieu, c'est la crise dans votre vestiaire.

- Mhh... tu vas prendre une douche, hein?

- ...

- Ah... euh... excusez-moi senpai... vous n'auriez pas vu Besshô san passer?

- ... o_o

Junichirirô ouvrait les casiers au fur et à mesure qu'il passait devant eux. Mais toujours rien, pénurie de serviette. Are kiddin' me ? Surtout que son odeur de chien puant en putréfaction finirait par le faire vomir, il était très sensible aux odeurs. D'ordinaire, plus aux fragrances délicates, mais là c'était la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Il ne supportait pas d'être sale, collant et d'avoir les cheveux humides à cause de la sueur. Surtout quand c'est elle qui vous la colle sur le front. Dieu qu'il était sagouin ! Le petit doigt du fantôme pointait des placards. Ah oui, exact. C'était bien pensé. Jun se tourna vers le petit bonhomme plein de cheveux et le remercia d'une révérence de Molière. Si, en s'inclinant comme au théâtre. Le grand adolescent - il a dépassé l'adolescence, mais les ado' sentent pas spécialement la rose, ouvrit les placards. Les deux portes battantes claquèrent sur la jointure du meuble. Il ne les avait pas ouvertes de mains mortes ces portes. Il saisit deux serviettes. Et puis une autre ... Oh et une dernière. Jun s'épongea le visage et balança son linge sale sur un banc, il ne range pas, c'est comme ça. Une des serviettes en rab' se positionna sur ses épaules. Le rouquin de retourna vers le brun en s'adossant contre le placard, tout en désignant la clé enfoncée dans la serrure.

- Elle était simplement à l'intérieur. T'es pas censé avoir cours toi, les deuxièmes années matheux sont sur le terrain, non ?

Un sourire narquois défia le sécheur potentiel, il ne dirait rien. Il ne faisait que le taquiner pour voir sa réaction. Il s'apprêta à rebrousser chemin et rejoindre l'immondice jaune sur patte qui l'attendait. Le courage n'était plus à prendre à deux mains, mais à six paires de mains. Peut-importe, dans la vie, on fait des sacrifices ! Jun expédia un maigre coup d'oeil à son sauveur de serviette, ponctuant son geste d'un signe de main. Il se montrait courtois, mine de rien. Commodément prêt à partir, Jun fit une halte à côté du petit brun. Son visage lui rappelait vaguement quelqu'un, mais qui. Allez savoir, les cheveux l'empêchaient d'identifier clairement le sujet. S'il connaissait ce mec-là, c'était différemment. De plus, si Junichirô devait le connaître, il aurait eu à faire à un contexte bien différent de celui-ci. Pourquoi ? Puisque ce mec-là s'intéressait à son hygiène.

Junichirô resta crédule. Il avait le droit de lui signaler subjectivement qu'il était sale, mais de là à se préoccuper s'il prendrait une douche ... Trop curieux ou suspicieux d'aller le voir sous la douche. Un gay ? Non, il n'avait pas l'air ... pas tant que ça.

- Très certainement, ça t'intrigue ? trancha Jun railleur.

Le rouquin se serait bien lancé dans une petite friperie de sarcasme, mais non. Quoi qu'il avait du temps devant lui. Il tourna les talons et resta dos à la porte. Par où allait-il commencer ? Déjà, il se mettrait à l'aise sur un banc positionné contre le mur. Son dos collant se scotcha contre la paroie glacée en comparaison à son dos brulant ce qui lui arracha une grimace dégouté. Son survêtement-pyjama très très laid, à son tour, s'agrippait à sa peau. La douche, y'en avait une dans ce vestiaire au moins ?

Il aurait pu commencer à parler de sa vie et se demander ce que le maigrichon foutait ici, mais une voix familière du cours de danse résonna à l'entrebâillement de la porte. C'était le poussin ! Oh c'qu'elle est laide cette fille ! L'Elite se raidit contre le mur, plaqua contre lui ses jambes. Pas elle, non pitié ! Il fit des signes désespéré qui ressemblait plus à mise à mort suggéré à son sauveur de serviette. Entre nous, il n'avait pas envie de la revoir, elle l'achèvera si elle ne changeait pas de corpulence et de vêtement !

Junichirô se décolla du mur et se glissa prudemment contre le mur, veillant à ne pas apparaître aux yeux de sa camarade de danse. Direction, les douches. Il y en aurait forcément à l'angle de mur ! Sinon, il était cuit. Et cuit dans tous les sens du terme.

- Sur le terrain? Mh! Je suis blessé, je peux pas y aller.

Le numéro un de l'Elite se retrouvait dans les douches du vestiaire. Décidément, tout lui réussissait ; il échappait à une furie, était adulé comme une idole local et pour couronner le tout, dansait divinement bien - le démon de la danse c'est Michael Jackson.

Techniquement, le poussin avait disparu. Est-ce que le petit animal qui se blesse était resté ? Il n'en avait pas la moindre idée. Junichirô inspecta les douches. Pour une école aussi réputé et sélective que Crystal, l'hygiène laissait à désirer ; Juni découvrit des traces de crasses jaunâtres incruster dans les jointures de carrelage, des tâches verdâtres, du moins c'était la couleur qui s'y rapprochait le plus, déposées sur le plafond puis finalement, il se résigna à rester les yeux rivés sur la paume de douche avant d'avoir peur en identifiant ce qui se trouvait sur les murs.

Le rouquin ouvrit l'eau. Bien sûr, elle était gelée. Si vous appelez ça de la veine ... Il recula et patienta le temps que l'eau chauffe. A quoi penser ? Le garçon qui avait l'air bizarre et hors du temps avec sa bouille de gamin sorti de la maternelle. Il avait un air trop familier pour être inconnu. Il n'était ni grand, ni costaux. On voyait encore des traits enfantins sur son visage. Son regard l'apostrophait. Il le connaissait, l'avait vu de nombreuse fois. La mémoire lui manquait.

La vapeur finir par venir à Jun. Il enleva son pseudo débardeur et le balança à un peu plus loin. Les matheux allaient peut-être débarquer. Ils étaient dans sa classe d'ailleurs, les matheux. Les deuxièmes années étaient découpées dans plusieurs classes et on avait réuni les scientifiques avec les littéraires. C'est donner du beurre à un cochon ! Attend deux minutes ! Des ... matheux ? Alors, le gamin était un matheux ! Ce qui veut dire ... Qu'il est dans sa classe ! Junichirô se mit à parler tout seul pour éclaircir sa matière grise.

- Depuis quand j'ai un mécheux dans ma classe ...

Peut-importe, Junichirô enleva aussi son survêtement-pyjama hideux et se retrouva en caleçon. Les filles ne préviennent pas et les mecs l'admirent à un tel statut que c'était gênant. On apprend de tout, même de se laver habillé !

Junichirô passa sa tignasse rousse sous l'eau chaude et entendit une voix derrière lui. Le fantôme de l'Opéra ! Junichirô souleva les cheveux qui lui tombaient sur les yeux et constata que ce n'était que le mécheux. Encore là celui-là. Un tenace, un dur à cuir ! Euh, finalement non. Trop loin d'avoir la carrure pour être une racaille des bacs à sables. Bac à sable ? Ahah, il l'imaginait bien jouer avec un saut et une pelle, le sable tombant dans son pantalon.
Junichirô pouffa comme un abruti. De toute façon, le mécheux ne comprendrait pas pourquoi il rirait. D'ailleurs cette histoire de bac à sable ça lui rappelait .. bref peut-importe !

Du ... shampoing ? Alors, il montre où son les serviettes, prête du shampoing. Comme il est serviable cet enfant. Serviable s'il arrêtait de le fixer sans bouger. C'était oppressant et indécent !

- Merci pour le shampoing mais ... Tu comptes rester à me fixer comme ça ? Tu veux finir sous la douche, c'est ça ?

A noter que sa menace n'est nullement méchante. C'est juste pour s'amuser et l'embêter un peu. Il l'avait dit sur un ton provocateur, mais puéril. Seulement, il serait bien capable de le trainer sous la douche.

Junichirô se barbouilla les cheveux de shampoing et frotta sa masse capillaire et son cuir chevelu - il va faire un cap coiffure bientôt - avec délicatesse. Oh, qu'ils étaient beaux ses cheveux. Tourner vers les murs suspects des douches, Jun n'inclina que la tête pour discuter avec le mécheux. S'il restait là, autant tenir la discussion. De plus, ça le titillait de ne pas savoir d'où il venait.

- Rassure-moi, on est bien dans la même classe ? Tu me fais penser à un gosse que je connaissais quand j'étais petit, à la coiffure prêt. Ah, il était trop marrant !

Ah bah c'est du joli ! Ne pas se souvenir de ses petits camarades de classe ! Je ne te félicite pas, Junichirô.Pour faire passer le temps, il marcha en crabe le long des autres paumes (pomme ? Sérieux je sais pas du tout) de douches qui s'incrustaient dans le mur. Il les alluma toutes, au même degré que la sienne. Comme ça, la vapeur monterait. Il trouvait ça relativement agréable de mariner dans un sauna géant.

Ouais, c'est vrai, qu'est-ce qu'il avait à fixer les gens comme ça, le Kaoru? Ben, vous savez... soit il regarde pas les gens et baisse les yeux, soit il les fixe sans se rendre compte qu'il passe pour un dérangé ou un pervers, ou autres trucs dans le genre. Pourtant, moins pervers que lui, tu trouves pas sur terre. Il ne pige jamais rien aux sous entendus et il lui faut un bon moment avant de comprendre quand telle ou telle personne est amoureuse d'une autre alors que ça brûle les yeux. Moi je vous le dit, il va finir seul, ce mec, à moins qu'on lui donne des cours sur la vie xD.

C'était ça de vivre dans des livres, ça vous déconnectait de la réalité et du coup, alors qu'on se fait une image du monde, on est très déçu par la réalité qui se trouve être beaucoup moins sympathique que l'on pourrait l'espérer, sans happy end, parfois. Il est mignon ce petit gars qui vit dans son monde, mais ça le fait passer pour un cinglé et même avec ses airs de gosse, il arrivait à faire peur à des gens tout simplement parce que ceux-ci n'arrivaient pas à le cerner.

Il fallut au moins que Junichirô fasse remarquer a Kao' qu'il le fixait pour que ce dernier se rende compte de ce qu'il faisait et cligne des yeux avant de regarder ailleurs d'un air un peu absent. Lui? Lunatique? Non, pas le moins du monde! Et d'ailleurs, il avait pas envie de finir sous la douche, alors sa tête se secoua automatiquement tandis qu'il reculait de quelques pas.

- LE SHAMPOING!

Je vous ai déjà dit que c'était un stressé de la vie?
Mouais, bref, dans tous les cas, le garçon tourna vite les talons avec une certaine précipitation, se dirigeant vite vers son sac en sortant de son esprit tant bien que mal l'image de la tête du décoloré qui l'avait presque menacé de le passer sous l'eau. Oui, il faut tout de suite aller dans les extrêmes quand on parle de Kaoru et ne rien prendre à la légère, parce que hein! Il ne voulait pas être mouillé, puis devoir se déshabiller devant quelqu'un d'autre que son reflet dans un miroir. Je ne vous explique même pas à quel point il est difficile de voir plus que les bras et les mollets de ce mec. Oui, peut-être juste quand il était dans sa piscine alors. Oh oui, pudique à fond, il n'aimait pas qu'on le regarde, c'était juste pour ça, sans compter le fait qu'en tant que matheux pas sportif, il était censé être tout mou, ce qui était plutôt faux au grand étonnement de tout le monde qui le connaissait plus loin que son T-shirt, hormis le médecin de famille qui lui s'en fichait pas mal mais qui faisait peur à Kao' depuis longtemps. Plus le type vieillissait, et plus il faisait peur avec son air pervers. Bon, en fait, monsieur Takahashi, il se rendrait compte qu'on veut le violer qu'au moment où il aurait plus de pantalon, mais là on dévie carrément du sujet si vous voulez mon avis. xD

...

Attendez, vous n'allez pas me dire que le mec sous la douche n'avait pas reconnu le petit monsieur, si? o_o
Le concerné afficha une mine déconfite, baissant la tête sur ses mains, jouant avec ses doigts nerveusement. Oh ben quoi, il était déçu, c'était normal, non?
Silencieux pendant quelques secondes, Kaoru finit par soupirer avant de prendre la parole d'une voix pincée et un peu plus assurée que d'habitude.

- Depuis le milieu de l'année passée, ouais... Elle est très bien ma coiffure.

L'adolescent passa une main sur ses cheveux lisses avec frustration jusqu'à ce qu'un bruit suspect se fasse entendre derrière un mur. Non, ne me dites pas que le cours de sport était déjà terminé?! C'ÉTAIT LA GROSSE MERDE! O_O
Paniquant comme un fou tout soudainement, Kao' jeta un coup d'oeil à sa montre qui fonctionnait pourtant encore très bien et indiquait qu'il restait 20 minutes à ses camarades, normalement. Ah mais zut, qu'est-ce qu'il allait faire s'il se faisait repérer? Devenu tout à coup très vif, le garçon fonça dans les douches pour se cacher dans la masse de buée, le plus au fond possible.

- D-d-d-dis quelque chose! Il faut pas qu'ils viennent ici! Pitié!

- KAORU ! Ah, voilà !

- Eh ? Je peux rien pour toi, mon pote !

- Tire-toi de là. Sinon, ton nom viendra orné une jolie liste noir écrite par le N#III, ce serait dommage, non ?

SMS DE MISS USAWA POUR JUNICHIRO

Mon amour de J., tu te trouves actuellement en bien mauvaise compagnie. As tu émis l'idée qu'il pourrait être un véritable hypocrite, et peut être être le maitre de la rebellion qui se ligue contre toi?
Oh, et aussi, prend garde, je crois qu'il a quelques tendances bisexuelles.
Xoxo, Miss Usawa.

SMS DE MISS USAWA POUR KAORU.

Oh, mon petit Kaka, tu es d'une hypocrisie...J'aime ça. Fais attention, moi, je sais tout sur toi. Que ferais-tu si tu te retrouvais à égalité avec Junichiro? Si lui venait à savoir que tu es le chef de Fox. Tutut mon petit, reste sur tes gardes.
Xoxo, Miss Usawa.

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