Comme un air de rencontre ... [Terminé]

[désolé pour le titre je n'avais pas d'inspiration Sad

]

La journée avait certainement du être très décevante pour que Midori soit dans cette état là, elle parcourait les rues, le visage fermé, les sourcils incliné de façon peut amical sans pour autant être agressif, et elle avait cette démarche rigide et décidé qu’elle arbore lorsqu’elle est de mauvaise humeur, heureusement elle savait ce qui allait lui faire plaisir, une petite dose d’esprit geek, elle avait besoin de se libérer l’esprit de se poser avec son thé glacé dans un coin et dégommer des extraterrestre avec son gros calibre. Elle bifurqua au croisement d’une rue, de part et d’autre de la foule de grands magasins affichaient avec orgueil des affiches publicitaires aux tailles démesurées, elle n’avait jamais vraiment compris l’utilité d’une telle chose, en plus elle trouvait ça vraiment moche, Tokyo avait changé depuis son enfance, ou peut-être est-ce elle qui avait murit ?! En tous cas elle avait aujourd’hui la réelle impression que la notion d’argent devenait de plus en plus important dans ce pays, elle se souvenait qu’étant petite on pouvait se balader prés de la baie pendant une journée entière sans que notre regard se pose sur un panneau publicitaire comportant une jeune fille trop jolie pour être vraie à moitié dévêtue.

Soudainement l’image de sa grand-mère lui vient à l’esprit, et elle eu l’inquiétante impression que maintenant elle aussi était comparable à ses filles que l’on surexposait pour le bonheur d’autres personnes qui s’en mettaient pleins les poches, après tous on lui avait fait changer de nom, d’établissement scolaires, de relations, de vétements (même si elle ne porterait jamais cette horrible chemise en cachemire !), de portable, d’adresse mail, elle se retrouvait en plein cœur de Tokyo loin de sa charmante petite maison de bois d’où elle pouvait regarder les enfant jouer sur le terrain de basket en été, non maintenant elle se retrouvait entouré de perfection.

Midori à toujours été à prendre en compte le bon côté de chacun, en laissant tombé les aspects moins amical d’une personne, pourtant quand elle repensait à sa grand-mère, elle avait une haine intérieur incontrôlable qui lui faisait avoir la chair de poules, le manque d’habitude peut-être, en tous il était certain, qu’elle se retrouvait à présent mêlé à des choses qui ne l’avait jamais concerné ni intéressé à ses dépends.

Il faisait déjà chaud en cette saison et les ruelles bondées comme à l’habitude dégageaient une odeur de bitume coutumière. Midori ne faisait même plus attention au stress perpétuel qui l’entourait quand elle venait ici, dans cet endroit. Plus que quelques pas et ça y est elle y serait, elle allait pouvoir se poser devant un ordi et surtout ne plus penser à ce qui pourrait bien lui arriver maintenant quelle était entrée dans ce milieu qui lui était auparavant inconnu.

Mais un obstacle et de taille se posa entre elle et la suite des événements, en effet un chien sans laisse traversa la route juste devant elle, sans maître, sans laisse, sans rien, juste devant elle, son cœur s’accéléra, elle commença à avoir la nausée et envie de hurler alors pour éviter de passer pour une folle, elle fit demi tour et commença à courir afin de prendre un chemin certes plus long mais qui allait l’éloigner de la bête, comme à son habitude elle n’eu aucun problème à fournir cette effort, car elle ne faisait aucune audace vestimentaire, des tennis en toiles, un jean très simple, un pull-over gris et le tour était joué, elle sentit au contact de la brise que créait sa vitesse dans l’espace que sa coiffure ce défaisait peu à peu tant pis, il fallait arriver au cybercafé au plus vite ce détail s’arrangerai plus tard, elle courut encore deux bonnes minutes faisant tous le tour du quartier, et arriva à bout de souffle mais fière d’elle et contente d’avoir éviter ce chien qui était arrivé comme par hasard devant elle.

Elle poussa la porte le souffle court se dirigea vers le barnum et commanda un thé glacé sous le regard étonné de plusieurs personnes, elle se rappela alors de sa coiffure et l’arrangea de deux coups d’élastique avant d’aller se poser devant un ordinateur, malheureusement juste au moment ou elle tira sa siège vers elle, ne faisait pas attention aux mouvement de son bras gauche elle renversa le contenue de sa boisson sur son voisin.

Il faisait chaud en ce début d’après-midi. Le soleil tapait fort dans le ciel de Tokyo, ce ciel si immense, qui parait impossible à attraper. La chaleur était étouffante, dans une ville aussi pollué que celle là. Ao se baladait tranquillement, dans cette ville d’une grandeur incommensurable. Il venait juste de sortir de son lycée : Crystal Ship. Il avait du y aller pour des affaires assez importantes à propos d’une certaine proie. Cependant, il n’avait pas réussi à l’attraper, ce qui lui mettait assez les nerfs. Ao était éclatant aujourd’hui, en effet, il portait son costume favori. Un costume d’un blanc pure, comme on ne saurait en trouver ailleurs. Il était très bien habillé, pour quelqu’un qui sort d’un lycée, et qui avait courut après quelqu’un. Mais peu importait pour lui, puisqu’il ne mettait jamais l’uniforme scolaire, et qu’il aimait bien sortir bien habillé. On pourrait presque croire qu’il sortait d’un mariage.

Il trainait donc, maintenant, dans les rues de Tokyo, sans but fixe, ne voulant pas retourner de suite chez lui, avec toutes ses servantes qui l’énerveraient pour savoir s’il n’avait pas trop chaud, ou s’il voulait quelque chose à boire. Il avait pensé à aller voir quelqu’un de l’élite, histoire de s’amuser, mais ils étaient tous occuper en ce moment même. A croire qu’aujourd’hui n’était pas le jour de chance d’Ao. Il passait devant plusieurs stands, qui n’avaient aucun intérêt pour lui. Pour la plupart, c’était des magasins de pauvres. A vrai dire, c’était même assez rare qu’Ao Quan se promène dans ses quartiers là. D’habitude, il restait dans les banlieues riches de Tokyo, ou il savait que tout ceux qui y étaient, étaient de la même classe sociale que lui.

Il repensa à ce qui s’était passé au lycée. Il avait donné des ordres pour retrouver le garçon en question à plusieurs élèves, qui s’étaient mis à courir aussitôt pour le rechercher, de peur de subir les représailles d’Ao. C’était toujours comme ça, mais ça lui plaisait, que tout le monde soit à sa botte, le craignant, et l’admirant à la fois, pour faire partit de la si célèbre élite.

Il se résigna alors à rester dans ce quartier une minute de plus. Pour lui, voir tous ces gens pauvres était une horreur. Ils visaient tous ce qu’il était, pour le simple but de ne plus vivre dans la misère, tous des hypocrite, se servant des autres pour atteindre leurs buts. Il se retourna alors, faisant demi-tour. C’est alors, qu’il se retrouva face à face avec celui qu’il cherchait tout à l’heure, une de ses proies favorites. Lorsque le garçon eut vu Ao, il se mit alors à courir du plus vite qu’il pouvait. Ao se lança alors à sa poursuite. Il poussait les gens sur son chemin, peut importe leurs sexes ou leurs âges, tout ce qui l’importait était de l’attraper pour lui faire payer d’avoir passé une bonne heure à le chercher pour rien.

Il lui couru après pendant au moins cinq bonnes minutes, puis il s’arrêta. Il l’avait perdu de vu. Ao donna un coup de poing dans un mur à coté de lui, puis reprit son chemin alors, pour rentrer chez lui. C’est alors qu’il crut l’avoir retrouver, entrant dans un cybercafé. Il se dépêcha alors d’y entrer, espérant le prendre par surprise. Il détestait entrer dans ce genre d’endroit, mais là, l’occasion l’y obligeait un peu. Cependant, il n’était pas là, et Ao était sur de l’avoir vu entrer. Il était peu être allé aux toilettes. En attendant de le voir surgir, Il alla au barnum se faire servir un verre de coca. L’autre n’avait toujours pas surgit, de nulle part. Ao attendait alors, encore… Une fille arriva, quelques minutes après, et s’assit à coté de lui, commandant un thé. Mais par maladresse, elle renversa le verre de coca d’Ao sur lui.

Ao se releva alors, sa veste et son pantalon, tout blanc, trempé par le verre de coca, qui avait commencé à le tacher. Il lança alors un regard noir à la fille qui se trouvait à coté de lui et lui prit son poignet, la serrant assez fort.

‘’ NON MAIS VOUS NE POUVIEZ PAS FAIRE ATTENTION OUI ? UN COSTUME A PLUS DE 100.000.000 DE YENS !!! ‘’

Ce n’était en effet pas son jour de chance ! Il n’arrivait décidément à rien aujourd’hui. Il chercha alors désespérément un mouchoir ou quelque chose pour essayer de s’essuyer un peu, mais ne trouva rien. Il donna alors un coup de poing sur le comptoir.

’’J’espère que vous êtes prêtes à payer le pressing ! Mon costume préféré, réduit à néant…..’’

S’il retrouvait le garçon qu’il coursait depuis tout à l’heure, il était sur qu’il déverserait toute sa colère sur lui, cependant, comme sa colère commençait à attirer les regards, il essaya de se calmer un peu.

D’une manière générale, on ne peut pas considérer Midori comme maladroite, il lui arrive néanmoins de faire quelques maladresse ayant pour cause cette petite caractéristique que l’on appel être « tête en l’air », mais plus que cela encore Midori avait aussi la fâcheuse tendance à empirer les choses lorsqu’elle essayait de les régler, ainsi, alors qu’elle tournait sur elle-même telle une girouette afin de trouver un moyen d’essuyer le soda qui était tombé sur son voisin, elle renversa alors sur elle-même sa propre boisson, ne faisant pas attention à cela elle attrapa une serviette en papier posé prés des pailles, et le tendis à l’inconnu qui semblait être en rogne.

Etrangement, Midori se rendit compte qu’elle ne le connaissait pas, mais elle avait déjà vu ce visage quelque part, elle arrêta alors son action la serviette en papier toujours en main, tendu vers le jeune homme et commença à le détailler, elle savait quelque chose sur lui, quelque chose, mais elle ne se souvenait plus de quoi, ni où elle avait entendu parler de lui, elle se souvenait juste de l’avoir vu, et même cela était trouble, était-ce en photo, dans la rue, peu importait après tous, mais tous de même cela lui semblait important de s’en souvenir.

Le ton de la vois de ce pseudo étranger lui était désagréable, non pas la vois elle-même, mais la façon dont il venait de lui parler, son timbre était certes élégant comme tous ses fils de bonnes familles, mais il n’y avait aucun respect, aucune connotation qui aurait pue passé d’amical, certes elle venait de lui renverser un liquide qui tache sur un vêtement clair, mais tous de même, ce n’était d’une pas fais exprès et de deux, qu’est ce qu’un garçon de cette âge faisait avec un costume à 100.000.000 yens comme ça en ville, et surtout dans un cybercafé, les cours de tennis et les club privés ne suffisaient plus maintenant, ils venait boire du soda dans un lieu remplit de geek, pour ce délecter de leurs supériorité surement, ou tous simplement pour ce rendre encore plus compte à quel point ils sont estimés dans ses lieux où on les regarde comme si ils étaient des dieux vivants. Cette pensée écœura Midori, mais elle la refreina, après tous elle ne savait rien sur lui, et prendre des considérations hâtives n’était pas mieux que ce sentir supérieur, elle fronça donc les sourcils en signe de désaccord et fit un mou peu amical, mais pas énervé pour autant.

« Je suis désolé …, mais bon ce n’est qu’une tache, un tour de machine à laver et cela ne ce verra plus ! »

Elle adressa un léger sourire au jeune homme, légèrement en coin pour montrer qu’elle ne lui voulait pas de mal, qu’elle s’excusait que qu’elle espérait aussi qu’il ne lui en veuille pas trop. Midori avait ce genre de sourire, d’expression qui faisait qu’elle vous paressais accueillante et aimable au premier regard, c’étais très certainement un de ses atouts les plus utiles, cela lui permettait de sortir des situations délicates dans lesquelles elle se plongeaient (un peu trop souvent peut-être), bien sur cela ne marchait pas à tous les coups, mais en règle général cela marchait, il n’y avait eu que deux situations ou le subterfuge du sourire en coin n’avait pas marché, la première fois c’étais alors qu’elle était en primaire et que sa mère l’avait surprise à cacher une mauvaise note, et la deuxième, il y avait à peine une semaine, dans le bureau de la direction de AruExport, là où c’était scellé d’après les apparence son destins. Reprendre l’une des entreprises les plus importantes du commerce asiatique en échange de la prise en charge des soins de sa mère, tout le reste allait en découler.

Midori fouilla dans ses poches afin de voir si elle ne trouvait pas un billet de 30 yen pour que ce jeune homme puisse aller au lavomatique afin de nettoyer sa veste au moins, elle en trouva un, tous fripé au fond de sa poche de jean arrière, elle le tendis avec un grand sourire au jeune homme, qui parlait déjà de pressing et d’autres choses dont la seule connaissance qu’avait Midori de ces endroits était que cela coutait plus cher qu’un lavomatique.

« Tenez pour que vous puissiez aller nettoyer votre veste, à deux pas d’ici il y a un lavomatique qui marche vingt-quatre heures sur vingt-quatre. »

Du bout des doigts elle déposa son petit billet froissé devant l’inconnu et amorça son départ, recommandant un thé glacé pour elle-même, elle regarda avec rapidité l’état de son t-shirt, il y avait une légère tache brune, soupirant, elle avait tellement l’habitude de ce genre de choses cela n’allait pas la tuer, et puis avec la chaleur qu’il faisait, ça séchera vite.

Ao observait la scène. Cette fille était assez gênante pour lui et sa réputation. Néanmoins, il resta sur place. Celle-ci avait renversé sa propre boisson sur elle. Ao Quan se disait alors qu’elle n’était pas douée, et que ca devait être une caractéristique que tous les pauvres avaient. Cependant, celle-ci trouva des serviettes, et en donna à Ao qui réussit brièvement à s’essuyer.

Même si Ao était en rogne contre cette mystérieuse fille, quand il la regardait, il sentait quelque chose, comme un air de déjà vu, et il aimait bien sa tête. Il la regardait alors sans fin, se perdant dans ses yeux. Cependant, cela s’arrêta vite quand il l’entendit parler de machine à laver.

’’Une simple tache hein, néanmoins, sais-tu comment une toute petite tache peut jouer sur ma réputation ?’’

Mais comme la fille essayait de se montrer amicale, il essaya d’en faire autant. Son visage montrait vraiment qu’elle s’excusait. Ao se disait alors qu’il n’y pouvait rien, et que des fois, les choses n’allaient pas toujours comme il le voulait. Elle lui donna alors un billet et lui parla alors de lavomatique. Le mot lavomatique résonna dans sa tête, il lui donnait presque la migraine. Il lui rendit alors son billet de 30 yens, la prit par la main pour l’emmener quelque part, et la tira du cyber café, laissant de la monnaie sur le comptoir.

’’Au fait, je ne t’ai toujours pas demandé ton nom ! Tu as de la chance aujourd’hui tu sais, je suis plutôt généreux.

Il lui dit ceci comme si tout était naturel. Mais il ne laissait pas le choix à la pauvre demoiselle, c’est qu’il ne se rend compte de ses actions qu’après les avoir fait, qu’il se rend compte que c’est éxagéré. Il lacha alors la fille, puis se retourna, lui dit gentillement aurevoir, puis s'en alla, comme si de rien n'était. De totue façon, il avait peu de chance de la revoir...

[désolé, ce coup ci j'ai vraiment pas été inspiré >.<]

[ce n'est pas grave je ne t'ai pas facilité la tache non plus ... excuse moi ]

Un jour, il y a longtemps alors qu’elle était en maternel, la mère de Midori lui avait donné un conseil après qu’un garçon lui ai dit qu’elle était une pouilleuse, se conseil était resté gravé dans la mémoire de la jeune fille depuis, il disait « Si une personne t’insulte sans te connaître, c’est qu’il est jaloux, si une personne s’énerve sans entendre tes excuses c’est qu’il se sent seul, et si une personne réagit sans réfléchir, c’est qu’il est impulsif et certainement gêné aussi, fais toujours bien attention à cela pour ne pas blesser ton entourage avec des conclusions hâtives. »
Ses principes avaient régit une partie de la vie de Midori, ils lui avaient appris a chercher à connaître les personnes qu’elle rencontrait, car chacune d’elles étaient différentes, et chacune d’elle réagirait différemment à la jeune fille qu’elle est.

C’est surement pour cela qu’elle n’avait pas réagit lorsque le jeune homme inconnue l’avait prise par la main après lui avoir rendu son billet, et l’avait trainé à l’écart, d’ailleurs tous cela c’était passé avec une telle précipitation qu’elle n’avait pas eu le temps de réagir du tous, sans vraiment savoir pourquoi la présence de ce garçon à ses côtés ne la gênait pas plus que ça, malgré la réaction irritante qu’il avait eu tous à l’heure, il était beaucoup plus calme à présent, il avait même semblé à Midori qu’il la fixait sans rancœur aucune, ce qui soulageait la jeune fille, elle aurait en effet été bien triste si il n’était resté que sur cette première mauvaise impression à son égard.

Lorsqu’ils furent à l’écart Midori repris ses esprit et abandonna le visage étonné qu’elle affichait pour une moue plus sur d’elle fronçant légèrement les sourcils, elle dégagea sa main de celle du jeune homme et se la massa doucement, non pas qu’elle ai eu mal, mais le contact avec cette inconnu lui semblait bizarre, ce dernier afficha un visage plus amical, et reposé.
Il lui demanda de ce présenter ce qui étonna la jeune fille, lui-même ne l’avait pas fait, pourquoi serait-elle la première à dire son nom ?! C’est lui qui l’avait embarqué loin des regards comme si il avait honte pour sa soit disant « réputation », ou bien est-ce seulement parce qu’il n’aimait pas les endroits trop bruyants allez savoir …

« Attend, pourquoi tu m’a amené ici ?! »

Midori regarda autour d’elle, ils étaient plus ou moins seul, elle observa encore quelques secondes le jeune homme, il attendait une réponse, mais que lui dire, après tous son identité à l’heure actuel était confuse, même pour elle-même, elle ne savait pas d’où il venait, et ce qui était sur c’est qu’elle ne l’avait jamais vu ici auparavant, vu sa façon de s’habiller, il faisait plutôt parti de ses gamins des quartiers chic. Que faire, fallait-il qu’elle lui donne son identité actuel, ou plutôt fallait-il qu’elle se protège, vu qu’elle-même ne savait rien de lui et pourtant semblait l’avoir déjà vu quelque par.
Dans le doute elle se rappela les mots de sa grand-mère au sujet de son nouveau nom de famille, il fallait le porter avec dignité avait-elle dit, mais cela voulait-il dire qu’il fallait l’exhiber au premier venu ?!
Avec un long soupire, Midori pencha légèrement la tête en avant ce qui lui permis de cacher ses yeux avec ses cheveux à son interlocuteur.

« Je suis Aruko Midori, enchantée de te rencontrer ! Et toi qui es-tu ?! »

Elle releva la tête, le nom de Aruko n’était ni anodin à prononcer ni inconnu au sein de la société japonaise, et elle attendait avec appréhension la réaction du jeune homme, tous cela était nouveau pour elle, elle ne savait comment réagir, elle portait ce nouveau fardeau sur ses épaule, empreint de la marque d’une famille influente et censé être respectable, alors qu’elle n’avait toujours demandé qu’à vivre dans la simplicité de sa petite vie de famille aux côtés de sa mère.

Et puis sans dire un mot le jeune homme parti, la laissa en plan au beau milieu de l'endroit, Midori ne comprenait vraiment pas les actes de son interlocuteur, peut-être était-il dérangé, et puis après tous qu'est ce qu'elle en avait à faire , combien avait-elle de pourcentage de chance de revoir un jour le jeune homme en costume blanc, donc elle ne connaissait même pas le nom dans une ville aussi grande, aucune semble t'il, enfin c'est du moins ce qu'elle pensais.

» Au secours. // TERMINE
» Traine dans les rues... || TERMINE
» Première rencontre[Anna'] || TERMINE
» Arrivée d'Asana feat. Jun || TERMINE
» L'Orage approche, on va bien s'amuser! [TERMINE]